Christian CHENARD

Cet artiste prolifique, décédé en 2002 à l’âge de 84 ans, exprime au travers de son œuvre « la théorie de libération du désir » chère aux Surréalistes.

Telles des visions oniriques affranchies de toutes préoccupations esthétique ou morale, ces tableaux ne laissent pas indifférents.

En ce qui me concerne, férue de littérature fantastique, j’ai retrouvé avec bonheur au travers de cette peinture, la cosmogonie imaginaire du créateur halluciné qu’est LOVECRAFT, écrivain américain des années 20/30.

Des tableaux étonnants, complexes et pleins de force qui traduisent sans détours un univers riche tout à la fois captivant et parfois même dérangeant par le fait de reproduire nos rêves voire nos imaginaires les plus fous.

Avoir chez soi un CHENARD est quasi recommandé pour les voyages "par delà le mur du sommeil" et "les aventuriers de l’abîme du temps".  les toiles sont toujours disponibles et, Si cet artiste vous intéresse, merci de nous laisser vos coordonnées.

VIKA

VIKA aime voyager et s’immerger dans d’autres cultures.

De l’Océan Indien au Pacifique, elle sait qu’un visage raconte mieux son pays que n’importe quelle carte postale.

A travers un regard, une expression, un sourire elle saisit le mystère de l’autre, la richesse de sa vie, la profondeur de son âme...

Cette artiste, véritable «conteur de l’éphémère et de l’instant», nous propose des portraits qui nous font voguer vers un ailleurs riche de rencontres.

« Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux, de voir l'univers avec les yeux d'un autre, de cent autres, de voir les cent univers que chacun d'eux voit, que chacun d'eux est »  Marcel Proust dans la prisonnière

Outre les portraits, VIKA a une large palette créative. Passant du figuratif à l’abstraction avec un talent incroyable, elle peut   répondre à pratiquement toute commande.

Pour rentrer en contact avec cette artiste, merci de nous laisser vos coordonnées.

Catherine ROCH

Artiste au regard vif et rieur et qui aime prendre son temps pour peindre….

Une palette de couleurs de terre, robuste et rassurante, nous entraîne dans une France profonde, attachante et, dans sa manière de traiter les paysages dont la nature luxuriante est tout à la fois ordonnée et désordonnée, il y a là beaucoup de mystère.

Quant aux scènes d’intérieurs, elles donnent envie de se poser dans un coin et de tendre l’oreille pour saisir une note de musique, une conversation et partager ainsi quelques moments chaleureux.

FX de BOISSOUDY

Un artiste discret à l’allure nonchalante qui nous surprend par la vivacité et la profondeur de son regard mais également par ses toiles, véritable recueil de poésie, dressé comme un pont mystérieux entre la terre et le ciel.

Beaucoup de reflets qui intriguent  et, François-Xavier de BOISSOUDY, tel un hussard de la peinture, essaye  à sa manière de nous rendre visible… l’invisible.

Je vous recommande sa peinture et la visite de son site http://www.boissoudy.com

Nora Schwartz

        Callimétrie

« Je suis presque une plume…Bientôt, complètement.

Je trace des lettres et des signes venus d’époques parfois lointaines et je les mets en scène sur des supports différents. Je travaille avec les lettres de notre alphabet latin. J’accorde autant d’importance aux mots qu’elles forment qu’aux visages qu’elles ont.

Je les apprivoise, parfois les maltraite, pour les faire évoluer et leur donner un rythme puis, Je les colore, les teinte, les essuie, les noie sous des trombes d’eau...

Avec patience, je les regarde sécher et se métamorphoser.

Je tutoie les papiers et leur fait subir les mêmes traitements, puis je joue les entremetteuses et organise la rencontre finale de la lettre et son support. »

N. Schwartz

Une jeune artiste originaire d’Alsace dont le talent pétillant et la fantaisie ne cesseront de vous surprendre…et nous convie à une véritable effervescence des sens !

Sophie Soalhat-Prétat

ou le silence de la lumière.

Ce qui frappe, au premier aspect, dans l’œuvre picturale de Sophie Soalhat-Prétat, c’est la présence ; présence du sujet : fruits et agrumes divers dans leur éclat solaire ou leurs linéaments les plus intimes ; présence de la couleur : monochromie subtile et irisations douces qui donnent à la matière un relief saisissant ; présence surtout de la lumière, incidente, violente, épanouie ou en demi-teinte. Cette lumière, si maîtrisée, sait capter le regard à la manière des grands anciens : Pieter Claesz, Willem Claesz Heda, Jan Davidsz de Heem, Lubin Baugin ou encore le grand Jean Siméon Chardin. Car, si Sophie s’inscrit à bon droit dans cette prestigieuse lignée, elle est fortement de son siècle et donne à son genre (que je préfère nommer à l’anglo-saxonne : still life ou « vie silencieuse », plutôt que « nature morte »…) un caractère résolument contemporain, hors des normes et des champs balisés. Non, ce qui fait des toiles de Sophie Soalhat-Prétat, une véritable œuvre en soi, c’est sa vraie personnalité, sa force, sa manière propre résolument éloignée des modes et des désolants standards du produit agréé courant. 

                                                                    Patrick Tudoret *

*Ecrivain, chroniqueur et chercheur en anthropologie des médias, Patrick Tudoret est l’auteur d’une douzaine de romans, essais, pièce de théâtre, récits et aime courir les musées du monde entier pour y débusquer la lumière des peintres

Si vous désirez prendre contact avec l’artiste, laissez-nous vos coordonnées

Pierre Mézin

De « l’abstraction narrative» des années 1990-2000 au « questionnement des images » qui occupe ses préoccupations plus récentes, Pierre Mézin, présent dans le DELARGE depuis de nombreuses années, nous offrira une délectation dynamique et colorée !

Pierre Mézin

Né le 12 Avril 1934 à Taza – Maroc
S’installe à Paris en 1955.
Tout en poursuivant ses études (Droit, puis ENA), il se met, dés 1957, à l’étude du dessin et de la peinture dans l’atelier de Lorris Junec.
Plusieurs voyages à l’étranger, aux États Unis et au Japon notamment, le conduisent peu à peu à se détacher du
« néo-naturalisme » de ses débuts pour intégrer, dans une synthèse personnelle, l’apport expressif et contrôlé de la vieille peinture chinoise, le « bricolage » revendiqué du Pop’art américain et l’approche idéaliste du Maniérisme Contemporain.

Une envie de rencontrer l’artiste en son atelier et de découvrir ses toiles ? Nous vous envoyons ses coordonnées par retour courriel...

Philippe BON

Laissez-vous emporter dans « le sillage » de ces bateaux magnifiques et majestueux !

Originaire de l’Ouest, Philippe BON fait des études de Journalisme mais très vite, il se tourne vers la mer qu'il va

courir des années durant : en course dans la Manche

(il a été longtemps membre du Royal Ocean Racing Club),

embarqué sur les bâtiments de la Royale pendant son service militaire ou comme skipper de bateaux de charter

et enfin en tant que convoyeur de yachts.

Ces activités lui font tour à tour découvrir la Méditerranée,

I' Océan indien, la Mer des Antilles et le Pacifique.

En 1979, il décide de se consacrer totalement à la peinture, réelle vocation mise de côté pendant toutes ces

années de navigation.

Rien d'étonnant à ce que les bateaux et les rivages marins de Bretagne et de Normandie soient parmi ses sujets

de prédilection. Sa connaissance de la mer et des bateaux lui fait dessiner avec précision les coques et les gréements où l'oeil des connaisseurs saurait impitoyablement déceler la moindre erreur.

Il a récemment beaucoup travaillé à Venise, son escale préférée ; ses carnets sont bourrés de croquis de Tahiti,

des Antilles ou des Bahamas.

Il vit non loin de Vannes et des paysages du Golfe du Morbihan qu'il affectionne particulièrement et dont le

caractère fort des paysages n’est pas loin de sa vraie nature.

Selon le sujet il utilise le pastel, l'huile ou l'aquarelle et depuis peu la gravure en taille-douce.

Présent dans les Galeries de Vendée, de Bretagne et de Normandie, ainsi qu'à Paris, c’est un artiste à découvrir !

«Ce sont les voiliers qui ont découvert le monde, et ils charrient dans leur sillage bien des légendes.»

Olivier de KERSAUSON